Intégrer les réseaux sociaux dans la stratégie d’une entreprise est vital
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Le développement des réseaux sociaux renforce la mise en pratique de quatre théories, propres pour certaines à Internet, qui remettent en question les stratégies actuelles des entreprises.
La première, vulgarisée par l’ouvrage de Chris Anderson, est la théorie de la «longue traîne», stipulant que l’immense majorité des produits ou services rares peut représenter une part au moins équivalente à celle des produits ou services phares.
La deuxième théorie est la loi de Metcalfe, qui stipule que l’intérêt d’un réseau (ou d’une communauté) croît mathématiquement et de façon proportionnelle au carré du nombre de ses membres (même si dans la réalité celle-ci est à nuancer), démontrant ainsi l’intérêt pour une entreprise de développer des réseaux larges, donc de mener une stratégie sur les réseaux sociaux.
La troisième est la théorie du petit monde, qui indique que le nombre de personnes qui séparent deux individus pris au hasard dans le monde est en moyenne de 5, dévoilant le fait que les réseaux ne sont pas des places mondiales mais une somme de microcommunautés que les entreprises doivent désormais savoir gérer.
Enfin, la loi des médias participatifs ou loi des 1/10/89 %, qui est la constatation empirique sur les médias participatifs et outils du Web 2.0* que 1 % des internautes produisent du contenu, 10 % le commentent ou le modifient, et 89 % le consultent. Et in fine 100 % en bénéficient.
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Le développement des réseaux sociaux renforce la mise en pratique de quatre théories, propres pour certaines à Internet, qui remettent en question les stratégies actuelles des entreprises.
La première, vulgarisée par l’ouvrage de Chris Anderson, est la théorie de la «longue traîne», stipulant que l’immense majorité des produits ou services rares peut représenter une part au moins équivalente à celle des produits ou services phares.
La deuxième théorie est la loi de Metcalfe, qui stipule que l’intérêt d’un réseau (ou d’une communauté) croît mathématiquement et de façon proportionnelle au carré du nombre de ses membres (même si dans la réalité celle-ci est à nuancer), démontrant ainsi l’intérêt pour une entreprise de développer des réseaux larges, donc de mener une stratégie sur les réseaux sociaux.
La troisième est la théorie du petit monde, qui indique que le nombre de personnes qui séparent deux individus pris au hasard dans le monde est en moyenne de 5, dévoilant le fait que les réseaux ne sont pas des places mondiales mais une somme de microcommunautés que les entreprises doivent désormais savoir gérer.
Enfin, la loi des médias participatifs ou loi des 1/10/89 %, qui est la constatation empirique sur les médias participatifs et outils du Web 2.0* que 1 % des internautes produisent du contenu, 10 % le commentent ou le modifient, et 89 % le consultent. Et in fine 100 % en bénéficient.
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