Pour être efficace, la publicité doit faire semblant de rater sa cible
Les marketeurs sont tombés sur un écueil : la personnalisation à outrance de la pub la rend insupportable et donc inefficace.
« Prêt à décoller pour la Turquie ? », « Vivez le week-end de vos rêves à Antananarivo »... Qui n’a pas vécu sur son écran l’irruption très irritante d’une publicité en lien direct avec des e-mails échangés avec sa mère ou ses dernières recherches sur Google ? On sait que vous allez partir en voyage, que vous êtes prêt à débourser une bonne somme d’argent, alors on vous balance la pub adéquate.
« Prêt à décoller pour la Turquie ? », « Vivez le week-end de vos rêves à Antananarivo »... Qui n’a pas vécu sur son écran l’irruption très irritante d’une publicité en lien direct avec des e-mails échangés avec sa mère ou ses dernières recherches sur Google ? On sait que vous allez partir en voyage, que vous êtes prêt à débourser une bonne somme d’argent, alors on vous balance la pub adéquate.
Après la personnalisation calibrée sur le profil de chacun, les publicitaires ont passé un cap en intégrant le facteur temporel : à quel moment exact faut-il placer l’annonce sous les yeux du consommateur. Et surtout, quel moment est significatif, « bankable » ?
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